Photos de Patrice Amiel (groupe 3)
Photos de Nicole Beauvy (groupe 2)
22/06/2016 : Sommet de Tourte-Barraux
Photo de En (groupe 3)
Photos de Pierre Labbe (groupe 3)
Photos de François Gilanton (groupe 2)
Photo d'Yves Odasso (groupe 1)
Photo de Robert Selbmann (groupe 4)
Groupe 3 devant le Mont Aiguille |
Groupe 3 dans la descente |
Photos de François Gilanton (groupe 2)
Photo d'Yves Odasso (groupe 1)
Le groupe 1 au sommet de Tourte Barraux |
Le groupe 4 |
14/06/2016 : Pilat, Crêt de la Perdrix
Texte et photos de Jeanne Le Bihan (groupe 2)
Photo d' Anne-Marie Mantegazza (groupe 2), pansement de Gisèle Rigal (groupe 3)
Petite blessure pour Françoise, réparée par Gisèle !
Retour au Pilat, sans pluie, sans neige mais aussi sans Denis qui
nous a manqué !
Il y a quelques semaines, Denis nous a organisé cette belle
randonnée. Le temps a gâché notre journée. La neige étant tombée le dimanche
précédent (1er mai), nous avons marché dans la neige, dans la boue,
dans le brouillard et sous la pluie. Autant dire que nous n’avons pas vu
grand-chose…
Ce matin, nous étions un peu inquiets car la pluie était annoncée
et le ciel gris et nuageux ne nous a pas rassurés. Plus nous nous rapprochions
de Doizieux, plus la couleur du ciel s’améliorait mais c’était aussi le cas la
1ère fois…
Cette fois ci, nous n’aurons pas une goutte de pluie mais du soleil
et nous allons pouvoir profiter du paysage.
Nous avons clairement vu les antennes aujourd’hui, dans l’herbe, ce
ne sont pas des cailloux mais des vaches.
L’arbre que nous avions remarqué le 3 mai, il était plus beau sous
la neige.
Nous ferons aussi la pause déjeuner à La Jasserie mais à
l’extérieur avec le groupe 1 et un groupe de scolaires,
Surprise ! Un intrus nous rejoint au galop et repart aussi
vite, déçu car personne n’a voulu partager son pique-nique avec lui.
Début mai, nous avions attendu un bon moment la venue du car dans
le froid et le vent près de ce centre de vacances. Qui avait remarqué les Trois
Dents, ce jour-là ?
Petite blessure pour Françoise, réparée par Gisèle !
Texte de Gisèle Rigal (groupe 3), photos de Michèle Boutet (groupe 3)
Une odeur de baume
Un itinéraire magnifique. Exceptionnel belvédère sur les Alpes et la vallée du Rhône. Les crêts du Pilat sont un site classé depuis août 2015
Aujourd'hui je vais vous parler de la Jasserie où nous avons fait la pause pique-nique en compagnie du groupe 1.
La Jasserie est située dans un vaste amphithéâtre au pied du Crêt de la Perdrix point culminant du Massif du Pilat et où nous grimperons après le repas (c'est bon pour la digestion ?)
Bâtisse en pierre, coiffée d'un clocher que l'on faisait, autrefois, sonner pour guider les voyageurs. Au rez-de-chaussée se trouvait l'étable l'unique pièce d'habitation et la cave où étaient affinées les fourmes. Au-dessus le foin était engrangé.
Très souvent la construction de ce type de maison se faisait en aval d'une source qui était canalisée et divisée en 2 : une partie de l'eau traversait l'étable en vue d'évacuer le purin des bêtes, l'autre partie s'écoulait dans la cave afin de créer l'hygrométrie nécessaire pour l'affinage des fromages.
En 1927 la Jasserie est rachetée par Eugène Masson qui s'y installe avec sa famille. Ils entreprennent la construction d'un tremplin et d'un appareil motorisé pour permettre aux skieurs de remonter les pentes enneigées. Ce remonte-pente précurseur compte parmi les tout premiers de France.
Après la réalisation d'un second tremplin plus important en 1933 la famille Masson installe dès 1937 un téléski. L'exploitation de ce dernier est stoppé par la seconde guerre mondiale. En 1967, quelques essais d'un fil neige puis d'un nouveau téléski de 400 m. de long qui fut modernisé en 1973. Cependant après quelques saisons peu enneigées ces installations ferment en 1992.
A l'heure actuelle la Jasserie est une ferme-auberge. A côté de celle-ci se trouve la fontaine de Pilate, source de la rivière le Gier, affluent du Rhône.
Une odeur de baume
Nous le savons, il nous revient des jours semblables et d'autres non, nous
avions laissé le Pilat sous le brouillard il n'y a pas si longtemps. Jonquilles,
anémones tremblaient et tentaient de survivre, comme nous de passage. A peine si
nous le reconnaissons et d'ailleurs en descendant du car, rancuniers nous le
boudons quand un vent glacial nous accueille. Et pourtant les sapins sont là,
superbes à l'abord du chemin...et nous ne comprenons pas tout de suite l'odeur
qui embaume l'air, elle vient des bouquets de genêts, il y a partout du jaune
auréoline qui se hausse ou s'incline, contourne les flans des collines, s'en va
plus loin et effleure le foin, traverse la forêt et nous rejoint sur le bord du
sentier. Nous froissons en marchant les buissons, les herbes et les tendres
bruyères... nous regardons les cieux, les champs, les pierres... pas assez
d'yeux pour tout emporter.
On dirait un signal éternel, un hymne à la beauté au soleil aux saisons à
la brume d'été. Les arbres magnifiques, le bleu de la véronique, la plus obscure
petite plante et la lanterne du ver luisant, la fourmi au secret de son
antre.
Nous sommes là...je suppute en mon coeur l'exceptionnelle chance.
Le bruit, la haine nous le savons ! lorsque les chiens s'assemblent il faut
hurler ensemble ? Des hommes, des femmes s'entre-massacrent méticuleusement, des
hommes des femmes et des enfants... ivresse, déchaînement, déferlement,
déchirement oui nous l'avons ce cœur capable de souffrir, d'avoir des douleurs
qu'on pourrait croire insignifiantes et qui pourtant encrassent l'âme, vous
usent par dedans...
Savourer l'instant, s'il est amer et s'il offense il ne s'évite pas.
Retoucher terre, s'en être allée et revenir jusqu'à ce ciel vert
étonnamment vert, tout moiré de gris et de rose. Si quelqu'un l'avait peint, ce
ciel tel que sur les frondaisons noires on oserait rire on y croirait pas,serait
ce délire palpable de l'imagination ces flammèches vertes, ce lavis violet et ce
reflet qui par le nord, inattendu donne de l'ombre...
Les jours, les temps, l'éternité jusqu'ici nous ont accompagnés pour voir
cela, pour rien d'autre, ensemble les herbes ont une odeur de baume... il est
temps, il est temps que nous rentrions qui veut monter ? qui veut revenir ?
Les genêts |
Le départ : Denise rameute son groupe |
Le groupe 3 à la Jasserie |
Gisèle |
Aujourd'hui je vais vous parler de la Jasserie où nous avons fait la pause pique-nique en compagnie du groupe 1.
La Jasserie est située dans un vaste amphithéâtre au pied du Crêt de la Perdrix point culminant du Massif du Pilat et où nous grimperons après le repas (c'est bon pour la digestion ?)
Bâtisse en pierre, coiffée d'un clocher que l'on faisait, autrefois, sonner pour guider les voyageurs. Au rez-de-chaussée se trouvait l'étable l'unique pièce d'habitation et la cave où étaient affinées les fourmes. Au-dessus le foin était engrangé.
Très souvent la construction de ce type de maison se faisait en aval d'une source qui était canalisée et divisée en 2 : une partie de l'eau traversait l'étable en vue d'évacuer le purin des bêtes, l'autre partie s'écoulait dans la cave afin de créer l'hygrométrie nécessaire pour l'affinage des fromages.
En 1927 la Jasserie est rachetée par Eugène Masson qui s'y installe avec sa famille. Ils entreprennent la construction d'un tremplin et d'un appareil motorisé pour permettre aux skieurs de remonter les pentes enneigées. Ce remonte-pente précurseur compte parmi les tout premiers de France.
Après la réalisation d'un second tremplin plus important en 1933 la famille Masson installe dès 1937 un téléski. L'exploitation de ce dernier est stoppé par la seconde guerre mondiale. En 1967, quelques essais d'un fil neige puis d'un nouveau téléski de 400 m. de long qui fut modernisé en 1973. Cependant après quelques saisons peu enneigées ces installations ferment en 1992.
A l'heure actuelle la Jasserie est une ferme-auberge. A côté de celle-ci se trouve la fontaine de Pilate, source de la rivière le Gier, affluent du Rhône.
La Jasserie |
Texte de Jacques Brunier-Coulin (groupe 2)
Savez-vous pourquoi l’année commence le 1er janvier ?
Hier, mardi 14 juin 2016, en nous rendant dans les monts du Pilat, nous avons longé la commune de Roussillon.
Vous savez, bien entendu, que le 1er janvier est le premier jour de l’année, mais savez- vous que cela fut décidé, en France, en Isère, à ROUSSILLON ?
A la fin du Moyen-Age, les échanges à travers le monde ont impliqué que soient codifiées les relations entre des peuples qui jusqu’alors s’ignoraient. Les différents calendriers devaient donc aussi s’harmoniser, à commencer par ceux du royaume de France.
Le roi François 1er avait déjà présenté au Parlement la date du 1er janvier pour commencer l’année civile et en avait informé les pays qui avaient participé à une réunion de travail tenue à Villers-Cotterêts le 31 août 1539, réunion censée obtenir des institutions de l’état civil, des douanes, et de la justice notamment, de rechercher une date pour unifier leurs démarches.
A la mort de François 1er, son fils Henri II poursuivit cette initiative mais il mourut accidentellement le 10 juillet 1559. Son épouse, la reine Catherine de Médicis assura la régence du Royaume en attendant la majorité du futur roi Charles IX, majorité qui devait intervenir en 1563.
Catherine de Médicis, partant de sa résidence de Fontainebleau entreprit alors, avec le roi et la Cour, un long voyage initiatique pour présenter notamment le royaume au jeune roi. Le périple se poursuivi en Espagne et en Italie où elle rencontra le pape Pie IV pour lui soumettre, ce qu’il accepta, une date uniforme définissant le commencement de l’année en Europe.
Il était prévu que la date retenue soit soumise au Parlement de Paris le 9 août 1564 et la Cour regagnait donc la capitale par la Vallée du Rhône avec de nombreuses étapes dont l’une se situait au château du Cardinal de Tournon, à Roussillon, en Dauphiné. Mais le séjour dura plus que prévu car une épidémie de peste bubonique sévissait dans la région de Lyon.
Afin de préserver le roi et la Cour, on prolongea ce séjour à Roussillon, mais la date retenue pour la signature de l’Edit arriva et elle dû se faire au château du Cardinal de Tournon le 9 août 1564. Quelques semaines plus tard, le roi et la Cour purent reprendre la route de Paris.
Cet Edit fut enregistré au Parlement de Paris à l’arrivée du roi et de sa Cour. Cette réforme, qui fut ensuite voulue et conduite par le pape Grégoire XIII, prit effet le 1er janvier 1582 sous le nom de calendrier grégorien dans les pays d’occident.
C’est ainsi que la décision de faire du 1er janvier le premier jour de l’année a été prise en France, en Isère, au château de Roussillon.
Savez-vous pourquoi l’année commence le 1er janvier ?
Hier, mardi 14 juin 2016, en nous rendant dans les monts du Pilat, nous avons longé la commune de Roussillon.
Vous savez, bien entendu, que le 1er janvier est le premier jour de l’année, mais savez- vous que cela fut décidé, en France, en Isère, à ROUSSILLON ?
A la fin du Moyen-Age, les échanges à travers le monde ont impliqué que soient codifiées les relations entre des peuples qui jusqu’alors s’ignoraient. Les différents calendriers devaient donc aussi s’harmoniser, à commencer par ceux du royaume de France.
Le roi François 1er avait déjà présenté au Parlement la date du 1er janvier pour commencer l’année civile et en avait informé les pays qui avaient participé à une réunion de travail tenue à Villers-Cotterêts le 31 août 1539, réunion censée obtenir des institutions de l’état civil, des douanes, et de la justice notamment, de rechercher une date pour unifier leurs démarches.
A la mort de François 1er, son fils Henri II poursuivit cette initiative mais il mourut accidentellement le 10 juillet 1559. Son épouse, la reine Catherine de Médicis assura la régence du Royaume en attendant la majorité du futur roi Charles IX, majorité qui devait intervenir en 1563.
Catherine de Médicis, partant de sa résidence de Fontainebleau entreprit alors, avec le roi et la Cour, un long voyage initiatique pour présenter notamment le royaume au jeune roi. Le périple se poursuivi en Espagne et en Italie où elle rencontra le pape Pie IV pour lui soumettre, ce qu’il accepta, une date uniforme définissant le commencement de l’année en Europe.
Il était prévu que la date retenue soit soumise au Parlement de Paris le 9 août 1564 et la Cour regagnait donc la capitale par la Vallée du Rhône avec de nombreuses étapes dont l’une se situait au château du Cardinal de Tournon, à Roussillon, en Dauphiné. Mais le séjour dura plus que prévu car une épidémie de peste bubonique sévissait dans la région de Lyon.
Afin de préserver le roi et la Cour, on prolongea ce séjour à Roussillon, mais la date retenue pour la signature de l’Edit arriva et elle dû se faire au château du Cardinal de Tournon le 9 août 1564. Quelques semaines plus tard, le roi et la Cour purent reprendre la route de Paris.
Cet Edit fut enregistré au Parlement de Paris à l’arrivée du roi et de sa Cour. Cette réforme, qui fut ensuite voulue et conduite par le pape Grégoire XIII, prit effet le 1er janvier 1582 sous le nom de calendrier grégorien dans les pays d’occident.
C’est ainsi que la décision de faire du 1er janvier le premier jour de l’année a été prise en France, en Isère, au château de Roussillon.
07/06/2016 : Le Grand Veymont
Texte de Gisèle Rigal (groupe 4), photo d'Annick Ropert (groupe 4)
Vertige... D'la montagne
Des copains qui vous lâchent
Quand soudain les éclairs et l'orage grondent
Et la grêle vous inonde
"vertige de l'amour"
Au sommet j'entends "que c'est beau" !
Et moi pendant c'temps j'crois crever
"mes circuits sont niqués
l'courant peut plus passer"
"Vertige de l'amour"
Toute la montagne tourne
Et moi j'tourne avec
Mille lumières me vrillent la tête
Ca tremble sous mes pieds
"Vertiges de l'amour"
J'chope des suées
j'me fous à quat'pattes
J'm'égare, mes sens sont en folie
suis sens dessus dessous
"Vertiges de l'amour"
"L'coeur transi reste sourd
Non mais t'as vu c'qui s'passe"
j'suis debout, la terre continue d'tourner
Mais moi j'suis toute cassée
"Vertiges de l'amour".
Progression ...vertigineuse ! |
Traversée de torrent par le groupe 4 |
Le groupe 4 monte son camp ! |
Nous partons de Gresse en Vercors, charmant petit village du Vercors, version Trièves. Toile de fond si majestueuse que certains l'ont comparée aux Dolomites du fait de ses roches composées de carbonate de calcium et de magnésium abondant dans les Alpes dolomitiques du Tyrol.
Hello le soleil brille, brille, brille.
Nous prenons la direction du Grand Veymont (2343m.) point culminant du Vercors.
Les gressois sont fiers de leur Grand Veymont et le placent au rang de "merveille du Dauphiné". Il symboliserait les débuts de l'alpinisme selon des écrits datant du XII ème siècle.
Montée raide jusqu'au panneau "sous le Pas de la Ville". Nous empruntons alors le magnifique sentier de la Grande Traversée du Vercors.
Gentianes, orchidées et surtout une rareté les sabots de vénus. Un névé nous barre le chemin. Il nous faut monter un peu dans la caillasse pour le contourner.
Nous voici à la baraque du Veymont. Un sentier montant nous attend. Soudain, grand coup de tonnerre. Hello ! il est mort le soleil. Je n'entends plus personne causer dans le groupe. Il est vrai que les orages en montagne sont redoutés.
Il est presque midi : c'est la douche, pluie intense et même quelques grêlons. Rapidement nous sommes trempés des pieds à la tête.
Lorsque nous parvenons au sommet de la bosse j'ai le temps d'apercevoir d'imposants précipices de part et d'autre du chemin. La vue est imprenable mais pas question de musarder.
Nous amorçons la descente, un peu glissante mais la pente est douce et je suis rassurée. Nous traversons plusieurs ruisseaux qui se sont rapidement formés.
Enfin, c'est l'accalmie. Il est 13h.45. La pause repas est la bienvenue. Un timide soleil parvient à nous sécher quelque peu.
Sa Majesté le Mont Aiguille, l'une des 8 Merveilles du Dauphiné, dresse son imposante muraille devant nos yeux toujours admiratifs.
Par un sentier devenu ruisseau nous atteignons la Bâtie terminus de la
balade de ce jour.
Très belle randonnée fleurie malgré l'épisode pluie.
Hello ! ce n'est qu'un au revoir. Bonne semaine à tous.
Orchidées du Vercors |
Le Grand Veymont |
Le groupe 3 dans les derniers névés |
Vue sur le Mont Aiguille
Photos de François Gilanton (groupe 4)
Photo de Patrice Amiel (groupe 2)
Texte et photos de Jeanne Le Bihan (groupe 2)
Nous avons grimpé vers le Pas de la Ville sous le soleil.
Les Astasiens n’étaient pas seuls, nous avons été régulièrement dépassés par de jeunes
militaires en pleine forme mais nous avions bien remarqué que certains
commençaient à ralentir étant donné le rythme imposé par leurs champions.
« Pause banane » sous le Pas de la Ville, nous
retrouvons le groupe 1 et les militaires avant de repartir vers notre objectif.
Nous voilà au Pas de la Ville, contents et surpris de
trouver un militaire épuisé, qui va attendre le retour de son groupe. Pas cool,
il n’avait pas la chance de suivre Roland et Marie-France ! Il semble équipé
pour se protéger de la pluie.
Vu la couleur du ciel, nous ne traînons pas et poursuivons
notre marche. Bientôt, il faudra sortir les capes pour nous protéger. Nous ne
verrons pas le Mont Aiguille aujourd’hui car l’orage éclate et il faut
descendre rapidement. Robert, taquin, souhaite bon courage à Roland par radio
et quelques minutes plus tard nous informe que le groupe 1 vient de terminer
l’apéro et débouche la bouteille de vin alors que nous galérons toujours sur
les cailloux et dans la boue. Ah, c’est quand même bien glissant, soyons
prudents.
Ouf ! La pluie s’arrête et nous pouvons faire notre
pause déjeuner. Un troupeau de bouquetins reste à proximité de nous, nous en
verrons d’autres tout à l’heure dans la descente. Nous aussi, nous aurons
l’apéro ! C’est Edouard qui nous l’offre : Bon anniversaire !
Cela valait la peine de faire l’effort….
Sur le sentier vers La Bâtie, nous allons voir du muguet, des
sabots de Vénus et nous aurons encore un peu de pluie.
Nous arrivons bon derniers, les moteurs des bus tournent
déjà. Tout le monde est là, le sac de bonbons va pouvoir circuler, il est
attendu impatiemment. Après l’effort, le réconfort !
Et une video de Pierre Labbe (groupe 3) ==> cliquez ici
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