Texte de Nora Villiot (groupe 2)
Ce texte est dirigé vers ceux qui n'ont pas eut la chance de participer au groupe 2.
Notre grand meneur Ange nous guide vers les sommets, et ça monte, ça monte ça monte.
Ho l'ange déchu, la tour de Babel c'est fini punition des dieux, reviens à la réalité, le ciel peut attendre.
La mémoire revient, il faut dire que depuis le confinement, notre guide suprême, s'est vu habité par Madame COVID, et la raison, quelle raison, plus de raison, puisque la Covid le tient, sors de ce corps punaise de virus, et libère notre animateur.
Ma prière a été entendue , le revoilà sur des cieux plus sereins, le voilà t'y pas qu'il décide de nous faire faire le tapin, aucune discrimination hommes femmes tous au boulot Incrédules, les yeux battus, la mine triste et les yeux blêmes nous nous exécutons, mais la récolte fut maigre, voir nulle.
Patrice qui par habitude ne demande jamais rien pleure sa mère de faim, le chef décide d'aller manger à ROC DE TAMERY, moi j'ai cru que nous allions swinguer ROCK A BILLY. Paysage fantastique Belledonne, les Bauges, Pointe Galoppaz, belle récompense.
On descend vers Thuile, espérons que nous n'en aurons pas, après avoir quitté la Croix, nous nous sommes retrouvés à une intersection Gauche, Droite, Droite,Gauche. Ange avait réquisitionné Àdrien comme second. Vous auriez vu la gueule du second, notre guide suprême demande l'avis au binôme, et celui-ci avec des yeux de poisson mort ne réagit pas. Allez on part à l'aventure et on verra bien. Et bien on a vu, erreur de pilotage, faut rebrousser chemin. Adrien se réveille, et nous fait le passage du film weekend à Zuydcoote.
On rampe sous les barbelés, Maman si je m'en sors je serai toujours sage. Ouf enfin l'aventure s'achève tous heureux ainsi va le groupe de l'asta.
Texte de Gisèle Rigal (groupe 3)
Hier, fragilité et beauté
Y en a qui voyagent dans des capsules à la verticale comme nous on le fait avec le car à Mardi Montagne...à l’horizontale. Après le voyage en car on le fait sur les deux pieds en randonnée toujours à l’horizontale. Alors quand soudain, on arrive sur une crête ébouriffante et quand un peu plus loin, il faut mettre nos pieds l’un devant l’autre et non pas l’un à côté de l’autre parce qu’il n’y a pas la place et qu’il faut se cramponner à un câble alors...vertige. Le vide est là, difficile pour notre cerveau de concevoir que nous sommes sur une petite boule, la terre, flottant dans un grand rien, un grand tout. Infini. Appelons le comme on veut. Pourtant que Belledonne était belle, on a même cru voir le Mont Blanc ...
Photos de Gérard Ducey (groupe 2)
Photos de Patrice Amiel (groupe 2)