Aujourd'hui direction le Beaufortain, région privilégiée des lacs de barrage dont le plus connu est celui de Roselend qui a englouti, lors de sa mise en eau, le petit village d'alpage dont le lac a tiré son nom.
Le Beaufortain est aussi célèbre pour sa production laitière qui permet de fabriquer le Beaufort réputé "prince des gruyères".
Au départ du Cormet de Roselend nous cheminons sur une large piste. A la prise d'eau la piste devient sentier. Un impétueux torrent est notre compagnon de route. A plusieurs reprises nous devons le franchir "à gué". J'ai les pieds bien au frais.
Nous remontons la Combe de la Neuva à travers l'alpage encore très fleuri : céraiste, gentianes printanières et de Koch etc.....
Les névés sont encore bien présents. Un premier groupe s'arrête aux lacs sans noms. Les autres, plus téméraires continuent vers le Col du Grand Fond. Bientôt, ils s'arrêteront également, l'épisode des névés risquant d'être dangereux à la descente. Sage décision de nos accompagnateurs.
Avant de reprendre le chemin du retour nous avons tout le loisir d'admirer le magnifique panorama sauvage qui nous entoure : Aiguille du Grand Fond, Pointe Presset, Aiguille Nova, brêche Parozan.
Minéralité des sommets, verdure de l'alpage, fleurs, cascades, beau temps malgré quelques cumulus, tous les ingrédients étaient réunis pour
faire une belle et sympathique randonnée.
Avant le retour sur Grenoble un petit arrêt s'impose à Beaufort pour les amateurs de ce très bon fromage.
Merci les animateurs : Denise, Vito, Ange et Christian.
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| Le groupe 2 |
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| Pique-nique des groupes 1, 2 et 3 au bord du névé |
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| Les groupes 1 et 2 retrouvent le groupe 4 |
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| Faune et Flore du Beaufortain |
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| Groupes 2 et 3 dans la montée |
L’objectif principal de la journée était le Col du Grand Fond (2671m) puis
le Refuge de Presset (2514m) et retour au Parking du Cormet de Roselend
(1987m). Le 2ème objectif, si le temps de marche prévu le permettait, était une
longue pause à Beaufort pour faire les provisions de fromage et de pâtisseries
!
Nous avons bien marché tout en prenant des photos.
Mais, pas très loin du col, nous avons renoncé, trop difficile... Nous
avons regardé d’autres randonneurs peiner dans leur ascension : zig-zag,
glissade.
Il y avait du monde, quelques observateurs tranquilles sur leurs
rochers.
regardaient le groupe 3 (très discipliné), mené par Vito, rejoindre les
groupes 1 et 2 pour déjeuner.
