Nora Villiot (groupe 2)
Sa marque de fabrique, c'est son sourire toujours accroché à ses lèvres, mais
méfiez vous, c'est la garante de la bonne exécutions des règles et consignes,
gare à celui ou celle qui ne respecte pas la règle, et
c'est........NICOLE
Chapeau à la Louise BROOK, lunette à la Marcel
ACHARD, à elle seule elle représente le LAROUSSE DES NOMS PROPRES, elle
c'est..............GISÈLE
Toute douce, voix zen, elle ne vous lâche pas si vous vous découragez, elle a
pour vous les mots qu'il faut pour arriver au but,
c'est............DENISE
C'est ma copine, nouvelle recrue, elle a trouvé son ROLAND ( RONCEVAUX
)
qui a coup de COR lui rappelle les principes de la vitesse du groupe. Elle
veut apprendre, pour mener à bien son groupe, les oreilles toujours aux aguets
pour ne pas perdre une miette des conseils de ses anciens. C'est .... SERAPHINE
Messieurs prenez garde, la guerre des mollets est en chemin
Arlette Rambaud (groupe 1), photo d'Arlette et de Robert Selbmann
Juste quelques photos de mon téléphone portable , je ne peux pas faire mieux.
Ce fut une balade magnifique, un peu difficile à l'arrivée du pas de l'Oeille, il ne
fallait pas perdre sa route, avoir l’œil justement et le bon !
Nous sommes arrivés au sommet avec un peu de brume, mais le soleil nous
attendait, les chamois (en fait, des bouquetins) aussi !
Ce fut un moment génial de les observer quelques instants, ensuite nous avons rencontré plusieurs marcheurs, des vaches qui se reposaient pour ruminer.
Nous arrivons au Col Vert : notre repas fut convivial comme toujours avec l'anniversaire de Louis, la descente parfaite pour tout le monde sans souci.
J'arrête mes bavardages comme dirait Jean PIC
Jackie Micoud (groupe 2), photo de En
Messieurs prenez garde, la guerre des mollets est en chemin
Arlette Rambaud (groupe 1), photo d'Arlette et de Robert Selbmann
Juste quelques photos de mon téléphone portable , je ne peux pas faire mieux.
Ce fut une balade magnifique, un peu difficile à l'arrivée du pas de l'Oeille, il ne
fallait pas perdre sa route, avoir l’œil justement et le bon !
Nous sommes arrivés au sommet avec un peu de brume, mais le soleil nous
attendait, les chamois (en fait, des bouquetins) aussi !
Ce fut un moment génial de les observer quelques instants, ensuite nous avons rencontré plusieurs marcheurs, des vaches qui se reposaient pour ruminer.
Nous arrivons au Col Vert : notre repas fut convivial comme toujours avec l'anniversaire de Louis, la descente parfaite pour tout le monde sans souci.
J'arrête mes bavardages comme dirait Jean PIC
Pas de l' Oeille |
Bouquetins dans la brume |
Jackie Micoud (groupe 2), photo de En
DU COL DE L' ARZELIER AU COL VERT
Aujourd'hui,une fois de plus Monsieur brouillard s'est invité à la
randonnée. Dommage mais il faut faire avec.
Au départ le chemin est assez raide. Puis nous trouvons une petite sente
avec beaucoup de passages dans les éboulis. Enfin nous rejoignons le sentier du
BALCON EST. Ce sentier balcon est magnifique par beau temps. Il offre une vue
panoramique sur PRELENFREY.
Soudain le voile se déchire : j'ai le temps d'apercevoir les deux sœurs AGATHE et SOPHIE*.
Le sentier est plat ce qui repose nos jambes avant l'assaut final.
Puis ce sont les arêtes du GERBIER avec ses belles voies d'escalade qui ont
connu un drame le 19 septembre 1965 : LIONEL TERRAY et MARC MARTINETTI y ont
fait une chute mortelle.
Nous passons sous les rochers du RANC des AGNELONS.
Bientôt nous arrivons à la CABANE du COL VERT (1600m.) où le groupe 3 doit
s'arrêter.
Enfin, il nous reste 200m de dénivelée pour atteindre le COL
VERT(1766m.)
Nous avons la bonne surprise de découvrir la plaine de VILLARD de LANS sous
le soleil. C'est la pause pique nique toujours très attendue.
Il est l'heure de repartir dans le brouillard. Nous faisons une partie du
sentier de montée en sens inverse mais nous descendons sur PRELENFREY où nous
attend le bus sous le soleil.
J'étais très contente de découvrir le COL VERT que je ne connaissais
pas. Merci à nos accompagnateurs.
*AGATHE et SOPHIE étaient 2 petites filles très pauvres. Les gens
racontaient qu'une sorcière nommée MOUCHEROLLE habitait la montagne et qu'elle
était très riche. Les fillettes pensèrent que cette dernière avait une potion
magique et partirent pour la dérober. Elles furent découvertes par la sorcière
qui lança son cri de guerre : ABRACADAPIERRE - ABRACADAROCHE en montagnes je
vous transforme. Mais la sorcière dans sa colère avait oublié que si on lance un
sort dans une maison tous les gens qui sont à l'intérieur sont transformés.La
sorcière et les fillettes devinrent pierres et c'est ainsi que le lendemain les
gens du pays découvrirent 3 nouvelles montagnes.Ils appelèrent la 1ère "LA
GRANDE MOUCHEROLLE" et les 2 autres les " DEUX SOEURS"
Pierre Labbe (groupe 3)
Agathe, Sophie, et les arêtes du Gerbier |
Pierre Labbe (groupe 3)
Jeannine Revol (groupe 4), photo de En
Randonnée sentier du périmètre - pas de
l'Oeillle - col Vert
Le groupe 4 monte allègrement pour se diriger
vers le pré ACHARD. Le long du sentier traversant la forêt, des énigmes nous
sont proposées, l'une d'entre elles nous interpelle : l'ancolie
- est ce une fleur qui recueille l'eau ? une fleur qui pleure ? une
fleur qui a la tête à l'envers ?
Nous essayons d'y apporter une réponse. En vain. Le nom ANCOLIE viendrait du latin AQUILEIA (IV siècle), dérivé soit de :
- AQUILEGUS qui rassemble l'eau, à cause des cavités de la fleur qui recueillent l'eau,
- AQUILA ( voir aigle), à cause de l'éperon en forme de crochet qui représente les feuilles de l'ancolie.
référence : www.cnrtl.fr (Centre national de ressources textuelles et lexicales)
Gisèle Rigal (groupe 3), photo de En
Faire durer encore un peu l'émotion
Nous essayons d'y apporter une réponse. En vain. Le nom ANCOLIE viendrait du latin AQUILEIA (IV siècle), dérivé soit de :
- AQUILEGUS qui rassemble l'eau, à cause des cavités de la fleur qui recueillent l'eau,
- AQUILA ( voir aigle), à cause de l'éperon en forme de crochet qui représente les feuilles de l'ancolie.
référence : www.cnrtl.fr (Centre national de ressources textuelles et lexicales)
Ancolie |
Faire durer encore un peu l'émotion
Pour qui vivre ne suffit pas : manger, dormir, les casseroles sales et les
pantoufles, jardiner et garder des petits monstres, serait ce là toute la vie? Apprendre encore et toujours marcher et bavarder et rire... claquer la porte au
quotidien, de l'air de l'air, du vif, du bonheur presque parfait.
Traverser une pente raide en sous bois, grimper péniblement jusqu'au sommet
où démarre à plat le sentier du périmètre qui domine la vallée. De là deviner le
paysage à perte de vue de collines herbues, fendues par des chemins et des
haies où s'accrochent ça et là des villages, la figure mouvante des troupeaux...
s'il n'y avait le brouillard si opaque qu'il fait le paysage irréel. Parfois un
rai de lumière intense nous saute aux yeux, éclaire et redonne des couleurs à
ce qui nous était invisible. C'est à la fraîche, à la cabane du Col Vert qu'on
savoure notre déjeuner comme le moment, qu'on s'attache à ce qui est là,
simplement sous nos yeux, regarder, prêter attention à tout ce qui vit à l'air
libre, aux plantes qu'on ne sait pas toujours nommer, aux herbes mouillées de
rosée, aux copains fidèles, prostrés sous un rayon de soleil, à toutes les bêtes
qui volent, rampent et grincent bref tout ce qui nous fait tourner vers ce qui
se contemple, s'écoute, se palpe se respire...plaisirs sensuels, plénitude
qu'aucun amant serait il admirable saurait nous donner.
Qui saurait nous donner tout cela....Baraque du Col Vert dans un reste de brume |