20/10/2015 : Col de la Croix Haute

Jeanne Le Bihan (groupe 3) photos de En (groupe 2) 
Impressions d'une "nouvelle" 

A l’ASTA, on communique beaucoup et Mardi Montagne a son propre blog. Mais voilà, il faut l’alimenter ce blog !

2ème sortie, je suis dans le groupe 3, petite pause. Christian et Gisèle échangent et s’inquiètent un peu de ces articles qui ne viennent pas. Christian aimerait qu’un des nouveaux donne ses impressions. 3ème sortie, toujours dans le groupe 3, petite pause dans la montée vers le pas de l’Allier, nouvel échange sur le même sujet. Gisèle est optimiste, Christian un peu moins mais Yves, notre serre-file, est d’une efficacité redoutable et propose une solution : « il n’y a qu’à désigner quelqu’un, c’est chacun son tour » ! Je suis en face de Christian et me voilà « désignée ». Un conseil si vous voulez passer votre tour : éviter la fin du groupe.

Tout d’abord, ce que j’ai  retenu à la fin de la 1ère journée, c’est l’accueil chaleureux. Sur le parking, à mon arrivée, Gisèle  me présente à Éliane qui va me prendre en charge et me décrire les habitudes à respecter pour une sortie tranquille (pose des sacs dans la soute selon l’arrêt par exemple) et me donner toutes les informations utiles sur les niveaux des groupes, la variété des randonnées selon les saisons et bien sûr les séjours proposés au cours de l’année. Quelques informations également sur les sorties raquettes qui vont débuter en janvier.

Cette première sortie, je la ferai dans le groupe 4 pour évaluer mon niveau (ce qui est rassurant),  je devrais tenir l’allure.

                            

La randonnée est un sport d’endurance donc plus on en fait, mieux cela va, mais pas sans pauses. Les pauses, depuis la maternelle nous en faisons, pas question de changer les habitudes. Il faut économiser ses forces  et il faut bien boire, régulièrement (les animateurs ne se lassent pas de le répéter), prendre aussi des décisions : enlever la polaire ou la remettre, sortir la cape de pluie ou pas. Ici, on ne parle pas de récréation ou de pause-café mais de « pause-banane » et tout le monde y tient, semble-t-il. Les biscuits et fruits secs circulent dans le groupe. C’est aussi le moment de prendre de belles photos des paysages mais pas seulement des paysages…

Au cours de la journée, j’apprends aussi que chaque groupe a ses préférences : un est plutôt apéro et digestif, un autre est plutôt sucré... Cela peut être aussi un critère de choix au moment du départ.

Au retour sur le parking, je retrouve Eliane et Mireille qui m’interrogent sur cette 1ère randonnée. Je marcherai avec elles dans le groupe 3 la semaine prochaine.

Chacun retrouve sa place dans le bus. Nous passons au « résultat des courses » et nous découvrons nos performances de la journée. Puis, c’est l’agenda culturel car il y a des artistes dans le groupe et la présentation de la randonnée de la semaine prochaine.

Et ce sera la dernière surprise de la journée …


L’ASTA, elle aussi, offre  des bonbons… mais sur le chemin du retour, pas au départ car la motivation est forte, pas besoin d’encouragements.

La rando avec l’ASTA, c’est trop bien ! Je reviens la semaine prochaine sur les sentiers.

Regroupement des groupes 2 et 3
Le groupe 2 court derrière Vito !
 René Pelisson (groupe 4) Photos de Nicole Beauvy (groupe 1)
Maniement du bâton
Je vais essayer de vous convaincre concernant l’utilisation du bâton de randonnée :
Si le fabricant a posé des dragonnes ce n’est pas pour les accrocher au porte-manteau.
Il faut enfiler les dragonnes par en dessous et tenir les bâtons entre le pouce et l’index, la poussée se fait sur la dragonne et le poignet.
Certains vous diront que si l’on tombe avec la dragonne enfilée, on risque de se casser le poignet (c’est une conn…..)
En 66 ans de randonnée, je n’ai jamais entendu une bêtise pareille.
Si vous tenez le bâton à pleine main, la main est crispée et si vous regardez l’heure, le bâton passe à l’horizontale.
Quand vous marchez sans vous en servir, le bâton suit les mouvements du bras et les pointes s’élèvent à plus de 1 mètre d’où le danger.
Si vous tenez le bâton tel que je le préconise, s’il glisse sur un rocher ou une plaque de glace, il suit la surface.
Si vous tenez le bâton à pleine main dans les mêmes conditions, il se lève et devient très dangereux pour la personne qui vous suit.
J’ai déjà été blessé 2 fois par des pointes de bâtons mal tenus, une randonneuse de Toulouse a eu l’œil crevé par un bâton.
En plus, une amie du CAF a eu une pointe de bâton passée entre l’œil et la lunette par un copain qui mettait son sac sur l’épaule avec ses bâtons rangés pointes en l’air.
Si vous ne vous servez pas de vos bâtons momentanément, marchez toujours les pointes en avant : il est préférable d’endommager une fesse qu’un œil !!!

Je suis à votre disposition pour une démonstration lors de notre prochaine randonnée.

FANAFOUDE
NB : Cet article reflète l'avis de René. S'il est vrai que beaucoup de sites de randonnée vont dans son sens, certains alertent sur le danger éventuel des dragonnes, et préconisent de mettre les dragonnes en montée, et de ne pas les mettre en descente.
Le groupe 2 rejoint le groupe 1 au pique-nique

Gisèle Rigal (groupe 3) 
Changement d'heure ! 
Entendrons nous sonner 9h, 10h, 11h...
On ne saura le dire, la nuit sera là
Ces heures qu'on aime entre toutes
Heures de la nuit
Pendant lesquelles les reflets de l'eau noire de l'esprit
Se distinguent plus clairement que le jour.
La cloche de l'église tintera
Le premier coup de minuit retentira
Tandis que le carillon de l'horloge
Ou le tic tac du réveil
Ou la sonnerie du téléphone sonnera:

Dimanche à 3h il sera 2h.