04/09/2018 : Matheysine : Tabor - Tour de Pérollier

Photos d' Yves Odasso - Groupe 1
Groupe 1 au Tabor
Groupe 1 au Piquet de Nantes
Photos de Viviane Breuillard - Groupe 3



Photos de Marie-Chantal Arnaud Goddet – Groupe 1


Texte et photos d'Edouard Disdischian - Groupe 2
Voilà encore une belle journée de passée. Le ciel ce matin laissait augurer une belle
randonnée sur les sommets de la Mathesyne, car il n'y avait pas un nuage en vue.
Et puis nous sommes partis en l'abordage, bien tranquillement, bien sur du Mont Tabor,
mille Tabor ! et dont le sommet se trouve a 2389m. Ça en fait des milliers de pas :! Au passage, nous n'avons pas vu le lac Charlet, à peine plus grand que ça ! de plus haut il ne semblait pas très grand.
Encore un effort, et nous voilà sur la crête sommitale, mais avec les nuages ! et oui comme tous les jours en ce moment, ils sont sur tous les sommets, et du coup, plus de soleil, et ouh il fait frais.
Du coup, on ne s'attarde pas sur le Tabor, et on repart pour le Piquet de Nantes.
Vous serez punis, au Piquet, disait le maître. Mais point de punition aujourd'hui .
Nous sommes au Piquet de Nantes, qui surplombe Nantes-en Rattier, très joli petit village
près de La Mure. Nous prenons notre pause déjeuner entre ciel, soleil et nuages et de la fraîcheur.
Pas besoin de glaçons aujourd'hui. Puis c'est le retour vers la station presque fantôme de Saint-Honoré.




Texte de Gisèle Rigal - Groupe 3 
Même pas mouillé, ah, bon !!!?
Mais au fait où nous amène Vito aujourd'hui, le nom du massif nous aurait-il échappé ? Faire fi de son coin, pas possible. Toujours là au fond de son cœur, de ses tripes peut être, en douce, clandestin, indéboulonnable. On le voit bien chanter " Matheysine oh, pays de mes amours...chi...chi", c'est ici qu'il respire, dans les lacs qu'il se mire. Il a ce qu'il faut, le grand, le petit. D'abord ceux qu'on appelait au début du siècle " Le Grand Lac et le Petit Chat et enfin Pierre Chatel.
Trêve de plaisanterie qu'a-t’il de si extraordinaire ce pays ? Les mines d'anthracite, la ligne de chemin de fer de la Mure à Saint Georges de Commiers, Le Tabor, La Morte, le Taillefer ?
D'en bas, rien d'extraordinaire, il faut peut-être prendre de la hauteur pour découvrir un trésor ? Car de trésor il y en est bien un. Robert, Yves nous ont amené si haut, nous les groupes où trop souvent on ronge notre frein, si haut  donc qu'on a pu admirer du sommet un panorama merveilleux, un des plus beaux des Alpes ? Dans le fond, on a aperçu toutes les montagnes de Savoie, on a cherché à voir le Mont Blanc, plus près de nous le Pelvoux, les Ecrins, La Meije, Les Grandes Rousses, le massif de Belledonne, et Chamrousse. A nos pieds, les lacs, La Mure d'un côté et Grenoble de l'autre.
Comment s'égarer, emprunter des chemins incertains, avancer ou reculer ? Sans s'inquiéter on suit Robert, sur une pente qu'il a rendu douce, sous un soleil apprivoisé, sans se presser, sans s'impatienter...
Merci à Séraphine, Vito, Yves et Robert pour cette si belle journée et cette si belle humeur dans ce si beau pays.

Image de Roland Calvas - Groupe 2 
Ce qu'on aurait dû voir à partir du Tabor