Texte de Nora Villiot
BUCOLIQUE
La vie est belle, dirigée par notre Gisèle, elle nous a entrainés sur les chemins pastoraux.
Quoique un peu d'inquiétude, arrivés sur une rue nommée fusilière, la suite encore moins rassurante Armeria, la chasse est ouverte que diantre.
CHATTE amusant, le car est rempli de ces bêtes là et quelques chatons, mais bon allons à la découverte du lieux.
Le pas léger, sourire aux lèvres, cœur vaillant, nous arpentons les chemins en habits d'automne.
Je ne sais pas pourquoi mais toutes les petites chapelles sont restées portes closes, ont elles senti l'odeur de notre libertinage, le vent est notre maître.
Les kilomètres défilent sur nos semelles encore souple, le pas est léger.
Repas, tous réunis autour d'un étang dont les habitants sont des canards non farouches.
Des paons, des paons de toutes les couleurs, gardés par une maîtresse exceptionnelle POCAHONTA; nous faisons bonne chair, nos bouches s'entrouvrent pour laisser passer la nourriture, on salive de voir toutes ces victuailles bombance. Quand tout à coup je m'aperçois que tout le monde me saute, suis-je si transparente pour que les gâteaux, et boissons me passent sous le nez, je veux ma part.
Allez il faut lever le camp, rendre visite à Saint Antoine qui aime accueillir les pèlerins, et cette fois-ci l'église ne sera pas fermée.
Quoique un peu d'inquiétude, arrivés sur une rue nommée fusilière, la suite encore moins rassurante Armeria, la chasse est ouverte que diantre.
CHATTE amusant, le car est rempli de ces bêtes là et quelques chatons, mais bon allons à la découverte du lieux.
Le pas léger, sourire aux lèvres, cœur vaillant, nous arpentons les chemins en habits d'automne.
Je ne sais pas pourquoi mais toutes les petites chapelles sont restées portes closes, ont elles senti l'odeur de notre libertinage, le vent est notre maître.
Les kilomètres défilent sur nos semelles encore souple, le pas est léger.
Repas, tous réunis autour d'un étang dont les habitants sont des canards non farouches.
Des paons, des paons de toutes les couleurs, gardés par une maîtresse exceptionnelle POCAHONTA; nous faisons bonne chair, nos bouches s'entrouvrent pour laisser passer la nourriture, on salive de voir toutes ces victuailles bombance. Quand tout à coup je m'aperçois que tout le monde me saute, suis-je si transparente pour que les gâteaux, et boissons me passent sous le nez, je veux ma part.
Allez il faut lever le camp, rendre visite à Saint Antoine qui aime accueillir les pèlerins, et cette fois-ci l'église ne sera pas fermée.
Photo de Marie-Claude Escoffier
Photo de Christian Ceuninck
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Photos de Patrice Amiel
Photos de François Gilanton
Photos de Josette Misandeau (Voir toutes ses photos du jour ICI)