Texte et photos d' Edouard Disdichian
16 !! Nous étions 16 aujourd'hui, deux fois plus que la semaine dernière, plus fort que l'inflation et la hausse des pensions ! Et toujours avec les mêmes prévisions météo !! la pluie, bla bla
Et voilà, la journée s'est bien déroulé sans pluie, autre que la sueur au front après la première rampe sévère. Le chemin ne fut pas toujours bien net au début, mais ça fait causer et regarder le gps, ça occupe.
J'apprends en route que l'on va passer par la cheminée ! mais ça ne va pas, je ne suis pas ramoneur moi, mais randonneur, et je ne veux pas me salir. Mais t'es bête ou quoi, c'est géologique ou géographique. Ah bon tant mieux parce que moi, la suie ce n'est pas mon truc.
Après une petite pause, Patrick revient vers nous, et nous annonce : le chemin est barré, on ne passe pas, il y a un cochon !!! Mais qu'est-ce qu'il dit, il ne sort pas de Saint-Robert juste en dessous. Ouh, effectivement, il y a bien un sanglier couché sur le chemin, qui nous barre le passage ! Pas de banderole, la CGT n'a pas annoncé des barrages contre le projet des retraites !! pour la pauvre bête ne semble pas bien. On hésite, il faut contourner, on hésite, on avance, on hésite, on bouge, la bête se relève, elle va charger ! sauve qui peut ! Non , elle s'affale, se relève et se dirige difficilement hors du sentier, elle à une patte arrière peut-être cassée, merci sanglier, on est sauvé ! la randonnée est sauvée.
Non, pas encore, voilà la cheminée, oh la, pour passer, ça ramone, ça souffle, ça respire mais ça passe, vivement la pause.
Là tout va bien, les mâchoires fonctionnent à merveille, le repas est bien passé aussi, on parle sanglier , grouik , grouik !!
Voilà, un vent frais nous rappelle à l'ordre, nous voilà repartis, que de la descente, le bonheur, la chaleur retrouvée et à l'arrivée en attendant le groupe d'Adrien, le panaché est passé avec délice.
Et voilà, la journée s'est bien déroulé sans pluie, autre que la sueur au front après la première rampe sévère. Le chemin ne fut pas toujours bien net au début, mais ça fait causer et regarder le gps, ça occupe.
J'apprends en route que l'on va passer par la cheminée ! mais ça ne va pas, je ne suis pas ramoneur moi, mais randonneur, et je ne veux pas me salir. Mais t'es bête ou quoi, c'est géologique ou géographique. Ah bon tant mieux parce que moi, la suie ce n'est pas mon truc.
Après une petite pause, Patrick revient vers nous, et nous annonce : le chemin est barré, on ne passe pas, il y a un cochon !!! Mais qu'est-ce qu'il dit, il ne sort pas de Saint-Robert juste en dessous. Ouh, effectivement, il y a bien un sanglier couché sur le chemin, qui nous barre le passage ! Pas de banderole, la CGT n'a pas annoncé des barrages contre le projet des retraites !! pour la pauvre bête ne semble pas bien. On hésite, il faut contourner, on hésite, on avance, on hésite, on bouge, la bête se relève, elle va charger ! sauve qui peut ! Non , elle s'affale, se relève et se dirige difficilement hors du sentier, elle à une patte arrière peut-être cassée, merci sanglier, on est sauvé ! la randonnée est sauvée.
Non, pas encore, voilà la cheminée, oh la, pour passer, ça ramone, ça souffle, ça respire mais ça passe, vivement la pause.
Là tout va bien, les mâchoires fonctionnent à merveille, le repas est bien passé aussi, on parle sanglier , grouik , grouik !!
Voilà, un vent frais nous rappelle à l'ordre, nous voilà repartis, que de la descente, le bonheur, la chaleur retrouvée et à l'arrivée en attendant le groupe d'Adrien, le panaché est passé avec délice.
Photo de Marie-Claude Escoffier
Un concours est organisé : trouvez qui se cache derrière le sac à dos |
Photo de Michel Derenne